CAROLE
Medium Clairvoyante
Fils de Zeus (Jupiter) et d’Héra (Junon), frère d’Athéna et amant d’Aphrodite (Vénus) entre autres, Ares (ou Mars) se reconnaît à son casque et sa lance et se caractérise par sa force virile. Guerrier impulsif et fougueux, sa vie ne fut qu’une suite de batailles, de combats et de luttes dont il ne fut pas toujours vainqueur. Athéna et Héraclès le vainquirent 2 fois. De ses amours passionnés avec Aphrodite, il eut 2 fils : Déimos, la crainte, et Phobos, la terreur. Le peuple des amazones est considéré comme étant sa descendance. Il fut le premier dieu à être jugé pour meurtre. Cependant, sa capacité à braver le Destin lui confère un caractère vital, essentiel, utile à la manifestation de la volonté et de la conscience de soi.
Après avoir vainement cherché Europe, sa sœur enlevée par Zeus qui prit la forme d’un taureau blanc du nom de Cadmos fondateur de Thèbes. Cadmos pour remercier les dieux sacrifia une vache et demanda à ses compagnons de puiser l’eau à la source d’Arès. Or cette source était gardée par un dragon qui fut tué par les hommes de Cadmos. En tuant le dragon, Cadmos annihile le principe même qui crée la vie.
En représailles à ce crime, Cadmos devint l’esclave d’Arès pendant 8 ans. Puis après son expiation, il fut nommé roi de Thèbes et épousa Harmonie fille d’Arès et d’Aphrodite. Il trouva ainsi l’équilibre entre ses sentiments, ses motivations, ses émotions (Aphrodite) et ses actes et ses instincts (Arès).
Réduire Ares à un dieu guerrier à la force brutale serait trop simpliste car il est aussi :
• le protecteur des récoltes,
• le gardien de la parole donnée et gare à celui qui ne tient pas parole,
• le divin vengeur des offenses faites aux hommes justes,
• le protecteur des jeunes adultes qui s’exilent vers de nouvelles contrées pour s’installer.
La source d’Arès symbolise le flux vital du sang
• Le dragon est le gardien des forces du bien et du mal, du feu créateur ou destructeur.
Le cycle de 8 ans d’esclavage de Cadmos correspond au cycle de régénérations du dragon.
Le calendrier romain lui a dédié un mois : Mars, et à ce titre on l’appelle aussi le Dieu du Printemps car c’est surtout le mois ou les nobles chevaliers s’en vont en guerre.
Le loup est son animal de prédilection. La légende dit que Remus et Romulus élevés par une louve et fondateurs de la future Rome, étaient ses fils.
Le Dieu Ares (Mars) dans les autres traditions anciennes :
Pour les Celtes, il se prénomme :
• Nodons : Roi guerrier et religieux
• Ogmios : Dieu des forces occultes
Pour les Irlandais, il sera :
• Nuada : Roi guerrier et religieux
• Ogme : Dieu des forces occultes
Fils de Zeus (Jupiter) et d’Héra (Junon), frère d’Athéna et amant d’Aphrodite (Vénus) entre autres, Ares (ou Mars) se reconnaît à son casque et sa lance et se caractérise par sa force virile. Guerrier impulsif et fougueux, sa vie ne fut qu’une suite de batailles, de combats et de luttes dont il ne fut pas toujours vainqueur. Athéna et Héraclès le vainquirent 2 fois. De ses amours passionnés avec Aphrodite, il eut 2 fils : Déimos, la crainte, et Phobos, la terreur. Le peuple des amazones est considéré comme étant sa descendance. Il fut le premier dieu à être jugé pour meurtre. Cependant, sa capacité à braver le Destin lui confère un caractère vital, essentiel, utile à la manifestation de la volonté et de la conscience de soi.
Après avoir vainement cherché Europe, sa sœur enlevée par Zeus qui prit la forme d’un taureau blanc du nom de Cadmos fondateur de Thèbes. Cadmos pour remercier les dieux sacrifia une vache et demanda à ses compagnons de puiser l’eau à la source d’Arès. Or cette source était gardée par un dragon qui fut tué par les hommes de Cadmos. En tuant le dragon, Cadmos annihile le principe même qui crée la vie.
En représailles à ce crime, Cadmos devint l’esclave d’Arès pendant 8 ans. Puis après son expiation, il fut nommé roi de Thèbes et épousa Harmonie fille d’Arès et d’Aphrodite. Il trouva ainsi l’équilibre entre ses sentiments, ses motivations, ses émotions (Aphrodite) et ses actes et ses instincts (Arès).
Loin d’être découragé, Jason fit construire par Argos, un navire que la Déesse Athéna rendit magique. Accompagné de cinquante héros, dont Hercule (Héraclès), Jason embarqua sur l’Argo et partit à la recherche du Bélier à la Toison d’Or. Le périple fut mouvementé mais Jason ne renonça pas. Epreuve après épreuve, il arriva avec ses compagnons devant le chêne ou était suspendu le Bélier à la Toison d’Or. Grâce aux pouvoirs magiques de Médée, il vainquit le dragon et ramena la Toison à Pélias.
Pendant ce voyage, le Roi Pélias fit assassiner le père de Jason afin de conforter son trône. En apprenant la nouvelle, Jason, toujours aidé de Médée, se vengea en tuant son oncle le Roi Pélias.
Malgré sa bravoure, cette vengeance fit de Jason un criminel qui dut repartir en exil avec Médée qui devint sa femme.
La morale de cette légende nous apprend que la quête de la vérité est une noble quête à condition de ne pas devenir plus cruel que l’offenseur. Sinon cette quête de la vérité s’appellera vengeance aveugle.
Agni est l'une des principales divinités du Védisme, seigneur du feu sacrificiel et du foyer. Dans l'hindouisme, Agni est représenté chevauchant un bélier, animal associé au feu, dans le principe des sept chakras de l'hindouisme. Le feu est attribué à Manipura, 3e chakra.
Agni est un dieu trifonctionnel, il est à la fois
Le feu de la purification et du sacrifice, qui permet aux prières d’être transmises aux dieux ;
Le feu de la guerre et de la fin des temps, qui détruit le monde (mais permet sa régénérescence)
Le feu du foyer, qui réchauffe et permet la cuisson des aliments.
Dans un mariage hindou, Agni est le témoin principal.
De plus, en médecine ayurvédique (médecine hindoue), Agni est un des trois fondamentaux, un des trois repères, une des trois "humeurs" sur lesquelles il faut agir pour atteindre l'équilibre qui donne la santé. Les deux autres sont Surya et Vāyu, respectivement le soleil et l'air.
Khnoum, dieu à tête de bélier,
régnait sur la région de la première cataracte d'où surgissaient les eaux de l'inondation. Véritable père des Hommes, il façonnait les premiers êtres vivants sur son tour de potier. Khnoum, gardien des sources du Nil, était adoré dans la haute vallée du Nil, et était associé à l’eau nourricière dont il commandait la crue.
Ce potier sacré utilisait le limon fertile du Nil pour modeler les corps des hommes et leur insufflait ensuite le ka, l’âme. Son tour de potier était doté d’un mouvement de rotation évoquant à la fois les grands cycles de l’année (crues du Nil, passage des saisons…) et de l’existence humaine : naissance, vie mort, renaissance… Le mouvement originel de ce tour créait la vie.
Le nom de Khnoum vient de khnem, signifiant "construire", le Créateur, celui qui bâtit l’univers matériel et assure sa permanence et sa reproduction. Ce dieu bénéfique à tête de bélier fut l’un des meilleurs amis des hommes dans la mythologie égyptienne. Le symbole du bélier le définissait comme source de vie, communiquant son inépuisable énergie aux êtres et aux choses, animant l’humanité et l’ensemble du vivant en insufflant aux femmes l’énergie créatrice. Chaque naissance ou récolte témoignait de sa prodigieuse virilité.
Khoum participa à la naissance du futur pharaon, engendré par un dieu qui a pris la place du roi. C’est l’Egypte, elle-même qu’il aida ainsi symboliquement à se perpétuer et à se régénérer rituellement. Source de toute vie, Khnoum était à la fois associé au Soleil qui faisait lever les récoltes et à l’eau du Nil qui les fertilisait.
Ses nombreux noms attesteront le caractère multiple de ses attributions : "démiurge", "gouverneur des deux terres", "porteur de lumière", "gouverneur de la maison de vie", "seigneur des terres de la vie", "maison de la vie", c’est-à-dire aussi bien le corps féminin que la caverne secrète, tout en haut de la vallée du Nil, d’où jaillit périodiquement l’inondation bienfaisante.
Son lieu d’élection, d’après la légende, est la caverne de Hâpy, à Eléphantine d’où surgit la crue, quand Khnoum accepte de la laisser partir. Les représentations du dieu portant une croix ankh à la main et une jarre sur la tête prouvent que c’est de lui que dépend l’inondation dont il est le maître et le grand dispensateur. Khnoum joue ainsi un rôle majeur dans l’imaginaire de l’Egypte antique, tout entier centré sur le cycle régénérateur de la crue. Lui rendre un culte est fondamental : la crue arrive certes tous les ans, mais peut être plus ou moins bénéfique, plus ou moins tardive. Son retard, dans une économie sans cesse menacée de pénurie, est synonyme d’épuisement des réserves et de début de famine. Les prêtres de Khnoum, chargés du bonheur de l’Egypte entière, ont pour devoir de satisfaire un dieu dont la colère ou le mécontentement peut provoquer la famine, la ruine, voire la mort de tout un peuple. C’est pour cela que le culte du dieu de vie a perduré jusqu’aux premiers temps du christianisme. On trouve son nom dans les écrits de certaines sectes semi-chrétiennes des premiers temps de l’Eglise, certains prétendent même que la figure grecque du diable lui aurait emprunté quelques traits symboliques, notamment ses cornes torsadées.
Astrologiquement, à chaque apparition dans le ciel de la constellation du Bélier, la crue du Nil obligeait les bergers à confiner le bétail dans des enclos en attendant la décrue.